VEDALIS participe à la rencontre annuelle Contrôle de Gestion en Provence de la DFCG

La DFCG Midi-Pyrénées  (Association Nationale Des Directeurs Financiers et de Contrôle de Gestion) organise sa rencontre annuelle du Contrôle de Gestion, le jeudi 12 avril 2018 à Aix en Provence. Au programme : Des ateliers, mais aussi des rencontres et des débats animés sur les enjeux de demain dans la performance des entreprises.

Didier PLEGAT, Directeur de VEDALIS, animera un atelier sur la valorisation du capital immatériel. “A l’heure de l’économie du savoir, le capital immatériel est plébiscité par les Dirigeants comme un levier interne, un actif stratégique et un gage de compétitivité durable”.

Atelier A de 14h30 – 15h30, le 12/04/2018. L'inscription est obligatoire, attention nombre de places limité.

Retrouvez plus d'informations sur la page de l’événement : Rencontre Annuelle du Contrôle de Gestion en Provence – 4ème édition.

L’ignorance et la connaissance, intimement liées…

Dans un article publié par L’Echo.be en décembre 2017, Luc de Brabandere revient sur l’organisation des connaissances, intimement liée à des degrés d’ignorance.

 

Peut-on analyser l’étendue du champ de nos connaissances ? Comment mesurer leur précision ? Selon l’auteur, la réponse n’est pas aussi simple qu’il n’y paraît. Aussi, dans nos actions quotidiennes, nous sommes confortés par le fait qu’en cas de non maîtrise d’un sujet, nous pouvons trouver des livres ou d’autres personnes qui viendront nous aider.

L’ignorance et la connaissance : un cercle vertueux

Cinq degrés d’ignorance sont mis évidence en fonction de la conscience des Hommes et donc de la connaissance qu’ils ont de la situation. De plus, il faut également assimiler ces précédentes définitions à la gestion du savoir de chaque individu.

Cependant, à la lumière des progrès scientifiques, les réponses apportées donnent naissance à de nouvelles questions. Ignorance et connaissance s’inscrivent alors dans un cercle vertueux…

Source : « L’ignorance » , Luc de Brabandere, lecho.be

Crédit photo : Montage réalisé par les équipes Vedalis - photographie prise par Ryoji Iwata | Unsplash.com

Quand le capital humain et les entreprises publiques se rencontrent…

 
« Organisation publique : Le pari de la connaissance », est article réalisé par Said El Moustafaid et publié sur « L’Economiste.com ». Il nous dresse le tableau des entreprises publiques, en quête d’une protection de leur capital humain.

 

Si la préservation du capital humain est entrée dans les mœurs des entreprises privées, elle a été plus tardive pour les organisations publiques. Aussi, la Nouvelle Gestion Publique inspire les entreprises du secteur à développer des modèles de management calqués sur le privé. Par ailleurs, au-delà des avantages procurés au périmètre de l’entreprise, on considère les connaissances comme facteur clé de la compétitivité des pays.

L’économie du savoir et le risque de perte de connaissance issus des départs à la retraite dynamisent le secteur public vers une gestion de leurs savoirs. De ce fait, une attitude proactive et le partage d’expérience doivent répondre à ces défis. Comme le mentionne l’auteur, la pérennité de la connaissance organisationnelle est l’image d’une « capture des connaissances critiques » au sein des équipes et de leur expertise.

Préserver les connaissances tactiques :

Au travers de son analyse, le Docteur Said El Moustafid revient sur l’importance du capital humain dans la stratégie des entreprises publiques. Aussi, il présente comme moteur de ces entreprises les connaissances dites tactiques, celles connues uniquement par leurs détenteurs. Acquises par l’expérience et propre à chacun, elles constituent une forte valeur ajoutée, sujet de convoitises dans toutes les organisations…

Said El Moustafid, Docteur en Science de Gestion, propose son analyse à la lumière des réalités sociétales marocaines. Le vieillissement des fonctionnaires y est un sujet de premier plan dans ce pays où plus de « 45% d’entre eux sont âgés de plus de 45 ans ».

 

Source : « Organisation publique : Le pari de la connaissance » - Said El Moustafaid | L’Economiste.com 

Crédit photo : Sebastián León Prado | Unsplash.com

BDES : Ce qui change en 2018

Bases de Données Economiques et Sociales : Actualités 2018
 
Le décret n° 2017-1819 du 29 décembre 2017 relatif au comité social et économique précise les modalités de fonctionnement du CSE (Comité Social et Economique), issu de la fusion des trois instances :
- Délégués du personnel,
- Comité d'entreprise,
- Comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail.
La base de données économiques et sociales  (BDES) ou base de données unique (BDU) rassemble les informations nécessaires aux consultations et informations récurrentes du comité social et économique (CSE). 
 
Elle doit comporter à minima les informations suivantes : 
- l'investissement social, matériel et immatériel ; 
- les indicateurs relatifs à l'égalité professionnelle ; 
- les fonds propres ; 
- l'endettement ; 
- les activités sociales et culturelles ; 
- l'ensemble des éléments de la rémunération des salariés, des dirigeants et des financeurs ainsi que les flux financiers de l'entreprise. 

 
 
 
 
Depuis le 1er janvier 2018, l'architecture, le contenu et le fonctionnement de la BDES peuvent, dans les entreprises de moins de 300 salariés, être fixés par un accord d'entreprise majoritaire, ou en l'absence de délégué syndical un accord entre l'employeur et le CSE adopté à la majorité des membres titulaires, ou à défaut un accord de branche.
 
Rappelons que la Base de Données Économiques et Sociales est obligatoire pour les entreprises de plus de 50 salariés.
 
Votre entreprise est concernée par la BDES ?
 
VEDALIS vous accompagne et vous propose une solution simple d'utilisation, sécurisée et économique, en savoir plus 
 
Crédit photo : rawpixel.com/Unsplash

Du Data Management au Knowledge Management

Data Management

Experian Marketing Services a mené une étude mondiale sur la qualité des données en 2016, couvrant 1400 entreprises dans huit pays, y compris la France. Et les résultats ne sont pas franchement brillants.

Le sondage révèle que, en moyenne près d'un quart des données clients est inexact. Les erreurs les plus courantes sont des données incomplètes ou manquantes, des informations obsolètes, des doublons et des incohérences. Près d'un quart des répondants (23%) pensent qu'ils ont perdu des revenus à cause de ces inexactitudes. Et pourtant, les entreprises reconnaissent le potentiel des données puisque 79% d'entre elles déclarent penser que la plupart des décisions commerciales découleront des données clients d’ici 2020.

Cherchez l'erreur

La très grande majorité des répondants a bien conscience des problèmes de données au sein de leurs organisations, mais étonnamment, 65% d'entre eux attendent de rencontrer une erreur spécifique avant de prendre des mesures pour résoudre les problèmes et ne sont pas proactifs sur la gestion des données. L’erreur humaine, le manque de ressources, des stratégies inadéquates de gestion de données figurent en tête de classement des principales causes de mauvaise qualité des données.

Autre défi de taille, au sens propre comme figuré : le volume de données à gérer, avec lequel lutte près d'un tiers des entreprises interrogées.

Relever ces challenges liés au Data Management aura bien évidemment un impact crucial sur le Knowledge Management : d'une bonne qualité des données dépendra une utilisation optimale de celles-ci, autrement dit leur transformation en connaissances utilisables pour l'action...

Photo Credit : Epicgraphic